Anaximandre, contemporain et disciple de Thalès, est parfois considéré comme le fondateur de l'astronomie en tant qu'auteur de la première théorie astronomique non mythologique. Profitez de millions d'applications Android récentes, de jeux, de titres musicaux, de films, de séries, de livres, de magazines, et plus encore. La Grèce classique fut la première civilisation à détacher la pratique de l'astronomie des préoccupations de calendrier, de divination ou de culte religieux, au profit d'une volonté de fournir une explication théorique globale des phénomènes astronomiques. LI AIBL 189 Décembre 2020. Réjane Roure, Karine Lourdin-Casal, « Historiographie du terme précolonisation en Italie et en France Â», Srpskohrvatski / српскохрватски, Méotide (actuelle mer d’Azov au nord de la mer Noire), Histoire de Marseille de sa fondation au Ve siècle, Liste(s) des anciennes cités en Thrace et Dacie, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Colonisation_grecque&oldid=179546299, Article manquant de références depuis novembre 2018, Article manquant de références/Liste complète, Article contenant un appel à traduction en anglais, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Nous n'avons toujours pas trouvé d'indications attestant d'une utilisation antérieure[2],[3],[4]. Entre-temps, en 1974, Stephen Hawking proposait sa théorie du rayonnement des trous noirs. Huygens reprend à son tour l'idée de Fontenelle de vulgariser l'astronomie lorsqu'il compose son Cosmotheoros (1698). Dès 1610, Galilée décrivit dans son livre Sidereus Nuncius la lunette astronomique qu'il avait mise au point : au moyen de cet appareil, Galilée avait découvert les phases de Vénus et les quatre « planètes médicéennes » orbitant autour de Jupiter. 77 talking about this. Le renouveau de la discipline se produisit avec la conquête islamique. Vers le Ier millénaire av. Il n’y a cependant aucun lien politique entre la colonie et sa métropole : la nouvelle cité est complètement indépendante. On connaît généralement moins bien la tentative faite par Aristarque de Samos, de rapporter la distance Terre-Soleil à la distance Terre-Lune qui, par suite d'une précision défectueuse dans les mesures d'angle, donne il est vrai une piètre estimation (le rapport est faux d'un facteur 20…), mais qui n'en est pas moins correcte dans son principe. Deux ans plus tard (1976), Joachim Trümper capta un champ magnétique stellaire de forte puissance (un rayonnement de plus de 58 keV d'un tourbillon d'électrons dans HZ Herculis : 5×1012 gauss – à comparer avec le champ magnétique naturel terrestre : à peu près 0,5 gauss !) Ils connaissaient dès le début du IIe millénaire av. On doit au travaux de l'archéologue britannique Alan Blakeway la notion de précolonisation grecque. Les premiers Grecs, comme d'autres civilisations, ne savaient pas que l’« étoile du matin » (appelée Eosphoros, « le porteur de (la lumière) de l'Aurore », ou Phosphoros « le porteur de lumière ») et l’« étoile du soir » (appelée Hespéros) correspondaient à la seule planète Vénus et n'étaient pas deux astres distincts[11]). D'autre part, la colonisation grecque a consisté en une série de migrations diffuses et hétérogènes. Cela s'explique en partie par le fait que les fonctionnaires chargés de ce travail en répondaient sur leur vie. Selon A. Marshack, les indentations gravées sur un os d’aigle mis au jour dans l’abri Blanchard et datant d'environ 32 000 ans correspondraient à des notations lunaires : leur nombre et leur position pourraient être mis en rapport avec les lunaisons[réf. Avec l'étude des neutrinos du Soleil et de la supernova 1987A, avec l’observation de particules grâce au rayonnement cosmique et l'élaboration de détecteurs d’ondes gravitationnelles, l’astronomie a pu étendre son champ d'investigation au-delà du rayonnement électromagnétique traditionnel. Roger Bacon (1214–1292 ou 1294), s'inspirant d'Aristote, construisit les premiers instruments pour observer directement le Soleil dont une chambre noire et donna dès 1267 la description correcte du polissage d'une lentille[35]. William Herschel découvre la lumière infrarouge (1800), William Hyde Wollaston les raies d’absorption dans le spectre de la lumière solaire (1802). Hipparque de Nicée et d'autres perfectionnèrent des instruments astronomiques qui demeurèrent en usage jusqu’à l’invention de la lunette astronomique, près de deux mille ans plus tard : à savoir le théodolite, à ses débuts sorte de sphère armillaire sophistiquée, où l'on pouvait lire les coordonnées sur la sphère céleste au moyen de graduations. Dorénavant, le mouvement et la position des objets peuvent être rapidement connus, si bien que l'astronomie moderne est beaucoup plus concernée par l'observation et la compréhension de la nature physique des objets célestes. Si au Bas-Empire on continuait d'enseigner l'astronomie, c'est d'une astronomie aux résultats figés qu'il s'agissait. D'autres observatoires connurent un destin analogue ; seul l’observatoire de Maragha édifié en 1264 par Nasir ad-Din at-Tusi survécut près de 14 ans à son fondateur, avant de fermer ses portes entre 1304 et 1316. La méthode est décrite en détail dans J. Mogenet, A. Tihon, R. Royez, A. Berg, L'événement emblématique de ce mouvement est le. Vieille de plusieurs milliers d'années d'histoire, l’astronomie est probablement une des plus anciennes des sciences naturelles, ses origines remontant au-delà de l'Antiquité, dans les pratiques religieuses préhistoriques. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ses observations de la Lune se détachant sur le fond du ciel étoilé le font douter du système géocentrique et l’amènent à concevoir un système où le Soleil serait le centre du cosmos ; mais il est mourant lorsqu'en mai 1543 son livre esquissé dès 1531 De revolutionibus orbium coelestium paraît à Nuremberg. Cet auteur considère même que les peintures de ces grottes pourraient être des cartographies stellaires. Il en revient en 1508, déjà connu comme astronome. Parmi les découvertes archéologiques associées à une pratique du calendrier, il y a lieu de citer les cônes d'or rituels mis au jour en France et en Allemagne méridionale, interprétés comme les couvre-chefs de prêtres d'un culte solaire, et le disque de Nebra[réf. S’il est difficile de le démontrer, force est bien de constater que la raréfaction de la ressource d’une part, et la configuration de sa disponibilité d’autre part, sont conflictogènes. J.-C. La confrontation avec d’autres cultures stimule une réflexion philosophique, mais l’autre ne sert que de déclencheur ou de miroir, il n’est généralement pas un interlocuteur. Le regain d'intérêt pour l’astronomie constitue donc un aspect significatif de la Renaissance du XIIe siècle. J.-C., ils étaient en mesure de tirer des complexes chroniques de conjonction astrale les périodes individuelles de certains astres, et donc de prédire les temps de passage. Grâce à l’analyse spectrale, Secchi avait compilé le premier catalogue spectral de l’histoire de l’astronomie : sa tentative sera reprise en 1890, par un groupe d’astronomes, parmi lesquels Williamina Fleming, Antonia Maury et Annie Jump Cannon. Il peut s’agir de conflits sociaux entre aristocratie et démos, ou bien politiques soit entre groupes aristocratiques et leurs clientèles respectives (vieille tradition méditerranéenne) soit à l’intérieur du groupe dirigeant, comme à Corinthe (voir Bacchiades). Un zodiaque circulaire fut installé dans la chapelle d'Osiris du temple d'Hathor de Dendérah au premier siècle avant notre ère par les derniers Lagides grecs. Le quatrième, engagé dans cette rotation en sens inverse, leur semblait occuper le troisième rang, et le deuxième le cinquième rang. Nabu-rimanni est le premier astronome chaldéen dont le nom nous soit parvenu. Le stade final de ces processus est la formation d’un trou noir. Aussi les astronomes de la Chine impériale n'avaient-ils pas seulement à s'occuper du calendrier, mais étaient également chargés de prévoir les phénomènes célestes inhabituels (par exemple les éclipses de Soleil) et d'effectuer les pronostics astrologiques officiels. La configuration télescope prend définitivement le pas sur la lunette astronomique, dans le domaine des grands instruments, à cause des problèmes de flexion qui font apparaître trop d'aberrations optiques. Les découvertes accomplies depuis l'émergence de l'optique instrumentale ont bouleversé la conception du ciel et de l’Univers, ôtant un certain crédit aux théories héritées de l'Antiquité. Les sondes servirent aussi à explorer le système solaire : Galileo rejoignit le planétoïde Ida le 28 août 1991 et le 29 octobre 1991 passait à proximité de Gaspra ; la sonde Ulysses survolait le pôle sud du Soleil le 13 septembre 1994 et la capsule de Galileo traversait même le 7 décembre 1995 l’atmosphère de Jupiter : pour la première fois, l'enveloppe d'une planète gazeuse pouvait être étudiée par spectroscopie. Dans le calendrier égyptien, Sirius joue un rôle important, son lever héliaque ayant été mis en parallèle avec la crue annuelle du Nil. À partir de 1600, les missionnaires importèrent dans le pays les connaissances astronomiques des Européens. Contrairement à leur importance dans les décans du zodiaque, les constellations ne jouent presque aucun rôle ici. Les principaux enseignements des astronomes grecs peuvent se résumer en gros à ceci : Pline l'Ancien, qui composa vers l'an 60 une somme des connaissances scientifiques de son époque, considérait que l’astronomie était une connaissance du ciel, et reléguait l'astrologie au rang de pratique divinatoire. Les penseurs grecs bénéficièrent des connaissances astronomiques et des méthodes d'observation chaldéennes, très en avance sur les leurs. Au tournant de l'ère chrétienne, on se mit à observer entre autres des taches solaires, ce qui peut être accompli à l'œil nu au lever et au coucher du Soleil ; à noter l'apparition de novae et de supernovae, appelées étoiles invitées ; et dès 613 av. J.-C. à noter les passages de la comète de Halley. Le 29 mars de la même année, exploitant l'effet de fronde gravitationnelle, la sonde Mariner 10 atteignit pour la première fois la planète Mercure (passages ultérieurs : 21 septembre 1974, 16 mars 1975, etc. Alors qu'un siècle plus tôt on avait pris Uranus pour une étoile et non une planète, on disposa bientôt de suffisamment de données observationnelles pour reconnaître l'irrégularité du mouvement de cet astre. Les rives de la mer Noire sont colonisées par Mégare et Milet au cours du VIe siècle. C'est un « œuf cosmique » (puruska) qui est à l'origine du monde : sa coquille forme la Terre primitive et le ciel étoilé, et l'intérieur est rempli par de l'air. Le Dialogue sur les deux grands systèmes du monde de Galilée, paru en 1632, dénonçait les erreurs des Anciens (notamment les principes aristotéliciens du mouvement et le géocentrisme de Ptolémée) : attaqué par l’Inquisition, son auteur dut se rétracter et abjurer la doctrine héliocentrique le 22 juin 1633 ; il n'était pas possible à cette époque d'imposer une doctrine uniquement par la théorie ou l'observation. Quant aux Romains proprement dits, s'ils rangeaient l’astronomie au nombre des arts libéraux, ils ne l'enrichirent guère : c'est qu'ils y voyaient surtout un outil de l’astrologie, science divinatoire éminente. Pourtant le géocentrisme, avec une Terre immobile autour de laquelle toutes les sphères tournent quotidiennement, demeura la théorie reçue jusqu’à l’adoption de la théorie de Copernic, lequel s’est inspiré des idées d’Aristarque. Le terme est aujourd’hui traduit par le « manque Â» ou la « faim de terres Â»[8]. Parmi les autres astronomes significatifs, citons : Dès la fin du Xe siècle, un grand observatoire est construit près de Téhéran par l'astronome Al-Khujandi. La durée du mois coïncide avec les estimations actuelles à 6 décimales près, ce qui ne représente sur un siècle qu'un écart d'une heure. La plus ancienne mention d'une éclipse de Lune est celle du 17 janvier 3380 avant notre ère, qui aurait été décrite par les Mayas en Amérique centrale. Les colons avaient plutôt tendance à reproduire le modèle social de la cité grecque archaïque, caractérisé par la domination de la noblesse terrienne[10],[11]. La situation politique prévalant en Grèce même, avec maintes rivalités, ligues et guerres entre cités, se retrouve dans les zones colonisées, comme en Grande Grèce où une ligue achéenne constituée de Crotone, Métaponte et Sybaris détruisit Siris, cité ionienne du golfe de Tarente, à l’issue d’une bataille qui eut lieu entre 570 et 540 avant notre ère. C'est pourquoi le public cultivé brûle de partager les découvertes les plus récentes, et veut comprendre les hypothèses scientifiques en débat, comme en témoignent, entre autres, certaines pièces de Molière[43] ; Fontenelle est l'un des premiers à répondre à cette attente : dans ses Entretiens sur la pluralité des mondes habités (1686), l'un des premiers ouvrages de vulgarisation scientifique, il expose le système de Copernic et la cosmologie cartésienne des tourbillons. Gocha Tsetskhladze et Franco De Angelis (éd.). Toute l’info en continu. Le Rig-Véda mentionne 27 constellations associées au mouvement du Soleil ainsi que les 13 divisions zodiacales du ciel. La controverse qui s'ensuivit avec l’Église et qui se conclut par la « victoire juridique » de l’Inquisition sur Galilée est à l'origine des relations problématiques de l’Église avec les sciences naturelles. Aussi est-ce sous cet angle que l'on envisageait les configurations du ciel[5]. Ici, le chef d’une expédition est l’oïkiste ou œciste (mots où l'on retrouve la racine οἶκος, « habitat Â»), le colon un apoikos. Les avancées arabes concernent surtout l’astrométrie : on effectua des observations précises du ciel (dans un but essentiellement astrologique, même si l’islam voyait d'un mauvais œil les tentatives de prédire l'avenir, et interdisait la pratique de l’astrologie) et l'on dressa un nouveau catalogue d'étoiles, dont les noms ont finalement supplanté leurs prédécesseurs et sont toujours en usage : « Aldébaran », « Rigel », « Deneb », « Bételgeuse », etc. Depuis le XXe siècle, l'astronomie professionnelle a tendance à se séparer en deux disciplines : astronomie d'observation et astrophysique théorique. Mais c'est surtout à l'époque alexandrine (de 323 à 30 av. On découvre que les étoiles sont des objets très lointains : l'étoile la plus proche du système solaire, Proxima du Centaure, est à plus de 4 années-lumière. Cette science de la ville organise lieux d’habitation, rues et réseaux d’eau (citerne, canalisations, égouts). Même si l’on ne sait que peu de choses des considérations astronomiques des civilisations amérindiennes, leurs édifices cultuels et leurs observatoires astronomiques fournissent de précieuses informations. Se servant précisément d'un spectrographe, il commença ses recherches sur les autres astres : il isola dans les comètes des indices de présence d’hydrocarbures gazeux, et en 1866 il pointa son instrument sur une nova apparue dans la Couronne boréale, s’apercevant qu'il s’y produisait une gigantesque éruption d’hydrogène et d’autres gaz. … Le départ des colons est toujours un moment de déchirement. La mesure indirecte du diamètre terrestre par Ératosthène, vers 220 av. Le 27 décembre 1999, on effectua la première réparation de Hubble, ce qui participa (entre autres) à la découverte et à la photographie de la première naine brune connue et de planètes « supergéantes » situées en dehors de notre système solaire. LI AIBL 190 Janvier 2021. Mais avant tout, les Grecs de cette époque eurent un accès direct aux observations chaldéennes, consignées avec précision depuis de nombreux siècles[16] Le lien entre les sources chaldéennes et Hipparque est maintes fois mentionné dans l'Almageste. William Huggins, après avoir lu le mémoire de Kirchhoff sur l’identification des éléments chimiques d’après leur spectre, décida de se consacrer à ce champ de recherche. premières tentatives réussies pour observer le rayonnement ultraviolet, elles se servent de fusées d'observation à la durée de vie très limitée mais qui sont capables de quitter l'atmosphère terrestre. Le 6 août 1993, on découvrit que Pluton était recouvert d'une calotte d'azote solide (et non de méthane, comme on l'avait supposé). Dep 1950s, une gde partie des exploitations a été remembrée. Les Mésopotamiens et les Égyptiens vénéraient eux aussi des divinités célestes et s'adonnaient à l'observation des cieux. 580-ca. C'est ainsi que naquirent notamment la théorie des sphères homocentriques (Eudoxe de Cnide) et, surtout, la théorie des épicycles, qui est un développement des travaux d'Apollonios de Perga sur l'excentricité des orbites et qui doit très probablement être attribuée à Hipparque (190 à 120 av. La nuit commençait avec le crépuscule et se terminait avec le lever du Soleil[9]. En 1472, il réalisa la première mesure du diamètre angulaire d'une comète (à peu près au moment où l'on érigeait, dans l'Empire aztèque, le calendrier appelé « Pierre du Soleil »). L'astronomie est peut-être la plus ancienne des sciences, comme semblent l'indiquer nombre de découvertes archéologiques datant de l'âge du bronze et du Néolithique. Au milieu des années 1990, on découvrit pour la première fois des exoplanètes, c’est-à-dire des planètes situées en dehors du système solaire, d'abord orbitant autour d'un pulsar, puis en 1995 autour d'une étoile de la séquence principale. Ce service persista jusqu'en 1911 avec quatre hauts responsables : l'Astronome impérial (Fenxiangshi), responsable du tirage des horoscopes, le premier astrologue (Baozhangshi), à qui incombaient les chroniques astronomiques, le météorologiste en Chef (Shijinshi) chargé des prévisions météorologiques et des éclipses solaires, et le Gardien du Temps (Qiehushi), chargé du comput. Autre invention essentielle pour le développement ultérieur de l’astronomie d’observation, Aristote (384–332 av. Aristarque de Samos, dès le IIIe siècle av. J.-C., est restée célèbre : la taille de la Terre était calculée en mesurant la longueur de l'ombre portée au même moment par le Soleil à deux endroits différents, Alexandrie et Syène, villes dont on pouvait estimer la distance, en l'interprétant comme une différence de latitude le long d'un méridien de la sphère terrestre. et Charles Kowal découvrit en 1977 le premier Centauride, l’astéroïde Chiron (un planétoïde éloigné, de 200 à 600 km de diamètre, et dont la trajectoire est de 8,5 à 18,9 ua) – l’année même où les vols spatiaux s'attaquaient à l’exploration en dehors du système solaire. L'approche humaniste des textes de l'Antiquité favorisait une lecture critique et rendait possible l'expression d'idées nouvelles, voire opposées aux doctrines des Anciens. Laurent Capdetrey et Julien Zurbach (dir.). À l’époque archaïque, le monde grec traditionnel n’est pourtant pas encore imprégné par cette nouvelle pensée philosophique : il faudra attendre l’époque classique. La colonisation grecque est l'essaimage des cités helléniques du pourtour de l’Égée tout autour du bassin méditerranéen.