Point d’appui St-Vincent, entre les groupes fortifiés Lorraine et Jeanne-d’Arc. Les fortifications voulues par le maréchal Belle-Isle sont renforcées et développées. La plupart de ces pièces rejoindront le front en 1914. Florian Perrin. Ce dispositif est à l’origine composé de quatre forts avancés et détachés, les forts du Saint-Quentin et de Plappeville à l’ouest, et les forts de Saint-Julien et de Queuleu à l’est. La Feste Kronprinz, rebaptisée groupe fortifié Driant en 1919, est un fort de la seconde ceinture fortifiée de Metz, en Moselle. La première ceinture fortifiée de Metz se compose des forts de Saint-Privat , de Queuleu , des Bordes , de Saint-Julien , Gambetta, Déroulède, Decaen, de Plapeville et du Saint-Quentin , la plupart inachevés ou à l’état de projet en 1870, lorsque la Guerre Franco-prussienne éclate. Paradoxalement, la ville fortifiée ne fut que peu touchée par les combats de la Première Guerre mondiale, hormis les bombardements aériens de l'aviation française[8]. « Metz et son corps d’armée constituent une pierre angulaire dans la puissance militaire de l’Allemagne, destinée à protéger la paix de l’Allemagne, voire même [sic] de toute l’Europe, paix que j’ai la ferme volonté de sauvegarder. Les forts détachés et les groupes fortifiés de l’agglomération messine furent épargnés durant la Première Guerre mondiale, mais prouvèrent tout leur potentiel défensif au cours de la bataille de Metz, à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Il fait partie de la seconde ceinture fortifié des forts de Metz et connut son baptême du feu, fin 1944, lors de la bataille de Metz. Alors que Metz se débarrasse de son carcan bastionné hérité du XVIIIe siècle, un palais de l’intendance, un palais du Gouverneur, un nouvel hôpital militaire et de nombreuses casernes se construisent pour répondre aux besoins de la nouvelle garnison allemande, qui oscille entre 15 000 et 20 000 hommes au début de la période[13], et dépasse 25 000 hommes avant la Première Guerre mondiale[14]. La Feste Mercy, rebaptisée Feste Freiherr von der Goltz en 1911, puis groupe fortifié La Marne en 1919, est un ouvrage militaire situé près de Metz, dans le bois entre Jury, Mercy et Ars-Laquenexy.Il fait partie de la seconde ceinture fortifié des forts de Metz et connut son baptême du feu, fin 1944, lors de la bataille de Metz. Aux IIIe et IVe siècles, les édiles de la cité font construire les premiers remparts de pierre, pour faire face aux premiers assauts des barbares. Parmi celles-ci, il faut citer les anciennes casernes du Cloître, de Chambière, du fort Moselle, ou du Génie. Cormontaigne fait édifier en 1737 la redoute de la Seille selon les plans de Vauban : un fort bastionné en avant des fortifications, à l’emplacement de l’ancien amphithéâtre gallo-romain[7]. Afin de tenir compte des progrès de l’artillerie, la première couronne de forts fut doublée par une seconde ceinture fortifiée, composée de neuf groupes fortifiés, entre 1899 et 1916. Un corps de caserne de cavalerie est construit à Chambière de 1732 à 1736. Protection néant. Ouvrages d'Amanvillers . Au sud-ouest, où l’on attend l’attaque française, pas moins de sept ouvrages secondaires sont construits entre 1912 et 1916, entre les Feste Kaiserin et Kronprinz. Pour ces travaux exceptionnels, le maréchal Niel affecte spécialement une somme de douze millions de francs or[2]. Les casernes, enterrées sur trois côtés, tournent le dos aux tirs ennemis, n’offrant aux regards qu’une façade appareillée pour les plus anciennes, ou bétonnée pour les plus récentes. La Feste Lothringen, rebaptisé groupe fortifié Lorraine après 1919, est un ouvrage militaire situé près de Metz. Horimont-Stellung. Les nouvelles constructions militaires permettent de recevoir 10 000 hommes et 2 000 chevaux[5]. Coordonnées 49° 04′ 22″ nord, 6° 02′ 49″ est. L’enceinte médiévale est renforcée une seconde fois vers 1445, comme le rappelle la porte des Allemands. Pour ces travaux exceptionnels, le maréchal Niel affecte spécialement une somme de douze millions de francs or2. Ces fortifications sont particulièrement soignées en raison de la position stratégique de cette ville entre la France et l’Allemagne. Groupe Fortifié Jeanne d'Arc . Cette catégorie regroupe les articles sur les forts et les groupes fortifiés composant les deux ceintures fortifiées de la ville de Metz en Lorraine.Construits selon les théories de Séré de Rivières à la fin du Second Empire et de Hans von Biehler pendant l’annexion allemande, ils valurent à la ville la réputation d’être la première place forte du Reich allemand. Louis XIV reconnait l’importance militaire de la ville et y envoie l’ingénieur Vauban pour examiner les fortifications[5]. Les lignes de transport suivantes ont des itinéraires qui passent près de Group Fortifie Driant Bus: 103; Comment se rendre à Group Fortifie Driant en Bus? Les fortifications voulues par le maréchal Belle-Isle sont renforcées et développées. Cette longue tradition militaire se traduit également à Metz par les écoles militaires qui s’y sont succédé. Des ponts-levis à contrepoids variables remplacent les ponts dormants sur les rivières, les portes et les remparts de la place sont entièrement reconstruits. Au cours du XIXe siècle, les progrès de l’artillerie obligèrent les ingénieurs français à concevoir un nouveau système défensif autour de la place forte de Metz, la première ceinture fortifiée. Suivre. Pendant l’Annexion, Metz, dont la garnison allemande oscille entre 15 000 et 20 000 hommes au début de la période et dépasse 25 000 hommes avant la Première Guerre mondiale, devient progressivement la première place forte du Reich … Forts de la première ceinture fortifiée, « Metz et son corps d’armée constituent une pierre angulaire dans la puissance militaire de l’Allemagne, destinée à protéger la paix de l’Allemagne, voire de toute l’Europe, paix que j'ai la ferme volonté de sauvegarder Â», À ne pas confondre avec les ouvrages français de la, Parmi ces généraux et officiers allemands nés à Metz, pour la plupart actifs pendant la. Le maréchal Niel affecte une somme de douze millions de francs or à la construction de ces forts, qui débute dans l’urgence en 1868[10]. Au cours du XIXe siècle, les progrès de lartillerie obligèrent les ingénieurs français à concevoir un nouveau système défensif autour de la place forte de Metz, la première ceinture fortifiée. En raison de leur vulnérabilité par rapport aux groupes fortifiés de la seconde ceinture fortifiée, ce groupe d’ouvrages fut surnommé « The seven Dwarves Â», les « Sept nains Â», par les GIs de la IIIe armée américaine, au cours de la bataille de Metz, qui se déroula entre septembre et décembre 1944. Une charte de 880 atteste l’existence de ces murailles. Foire Internationale de Metz : … René Bastien, « Metz devient une ville fortifiée ». Dans les années 1890, Metz devient la plus grande place forte d’Europe[12]. Avant l’invention de l’artillerie rayée, la place de Metz était considérée comme imprenable. Au hasard des mutations, les plus grands noms de l’armée allemande, comme Göring, Ribbentrop ou Guderian, sont par ailleurs passés par Metz, acquérant la conviction que cette place forte, jugée inexpugnable, était définitivement allemande[6]. Construits selon les théories de Séré de Rivières à la fin du Second Empire et de Hans von Biehler pendant l’ annexion allemande, ils valurent à la ville la réputation d’être la première place forte du Reich allemand. Lorsque les Romains arrivèrent en 52 av. Les casernes ont généralement des murs de plus de deux mètres d’épaisseur et une couverture de plusieurs mètres de terre compactée, souvent renforcée après 1900 par une chape de béton d’un à deux mètres d’épaisseur. Il fait partie de la seconde ceinture fortifiée des forts de Metz et connut son baptême du feu, fin 1944, lors de la bataille de Metz. J.-C., ils construisent un poste militaire, qui s’agrandit peu à peu. L’objectif de cette première ceinture était de tenir à distance l’assaillant, l’obligeant à s’établir à une distance telle que la ville au cœur du dispositif ne pouvait plus être directement bombardée. A bit of history: La Feste Wagner, renamed ′′ Groupe Fortifié de l ' Aisne ′′ by the French, was built under the first annexation of La Moselle, from 1904 to 1910, south of Metz. Les casernes ont généralement des murs de plus de deux mètres d’épaisseur et une couverture de plusieurs mètres de terre compactée, souvent renforcée par une chape de béton d’un à deux mètres d’épaisseur. Le magasin aux vivres, construit en 1559, fait partie intégrante de la citadelle militaire et témoigne de l’organisation rationnelle de l’intendance des garnisons militaires sous l’Ancien Régime. Ouvrages Kellermann . Les forts pouvaient en outre appuyer de leurs feux, les mouvements des troupes, lors des manœuvres à l’extérieur de ce camp retranché. L’ouvrage Sainte-Anne, l’ouvrage du Wolfsberg (Kellermann), ainsi que les ouvrages de Moscou, Leipzig et Saint-Vincent sont construits entre les groupes fortifiés Lothringen et Kaiserin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le groupe fortifié … Les dernières fortifications sont particulièrement soignées en raison de la position stratégique de cette ville entre la France et l’Allemagne. Metz intra-muros est alors une ville de garnison allemande animée, où se côtoient des Bavarois aux casques à chenille, des Prussiens et des Saxons aux casques à pointe et aux uniformes vert sombre, ou encore des Hessois aux uniformes vert clair. Il fait partie de la seconde ceinture fortifié des forts de Metz et connut son baptême du feu, fin 1944, lors de la bataille de Metz Le périmètre de protection du groupe fortifié Lorraine est assuré par un ensemble de positions d’infanterie, de casernes fortifiées… Les remparts sont renforcés une première fois vers 1235. Les forts ceinturant la ville de Metz. La lunette de la Cheneau, ou fort Gisors, est construite de 1822 à 1831[9]. Pendant l’Annexion, Metz, dont la garnison allemande oscille entre 15 000 et 20 000 hommes au début de la période [1] et dépasse 25 000 hommes avant la Première Guerre mondiale [2], devient progressivement la première place forte du Reich allemand [3].. La Feste Prinz Regent Luitpold complète la Seconde ceinture fortifiée de Metz composée des Festen … Les forts les plus anciens sont entourés de larges fossés, véritables douves sèches, dont la profondeur atteint par endroits une dizaine de mètres. Ces forts, déjà entourés de fossés et d'un réseau dense de fils de fer barbelés, ont parfois été renforcés par des pieux antichars, après 1930. Le dispositif est à l’origine composé de quatre forts avancés et détachés, les forts du Saint-Quentin et de Plappeville à l’ouest, et ceux de Saint-Julien et de Queuleu à l’est. La porte de France, composée de trois portes avec. Du nord au sud, la batterie de Sainte-Barbe (1907-1909) contrôle la route de Bouzonville, la batterie de Silly (1905-1908) et la batterie de Mont (1905-1907) contrôlent la route de Sarrebruck, et la batterie de Sorbey (1905-1908) contrôle la route de Morhange. Devant la Feste Lothringen, plusieurs autres ouvrages d’infanterie sont construits, l’ouvrage de Fèves, d’Horimont I, II, III (Canrobert), d’Amanvillers et de Vémont (Richepance). Au cours du XIXe siècle, les progrès de l’artillerie obligèrent les ingénieurs français à concevoir un nouveau système défensif autour de la place forte de Metz, la première ceinture fortifiée. Malgré les bombardements dans le quartier de la gare, c'est dans une ville globalement intacte que les troupes françaises feront leur entrée le 18 novembre 1918[9]. Toute une infrastructure routière et ferroviaire a, par ailleurs, été spécialement créée pour desservir les différents sites militaires. Jusqu’au début du XVIIIe siècle, les soldats étaient logés chez l’habitant, ce qui ne manquait pas de créer des problèmes entre la population civile et la garnison. Les fortifications de Metz et de Thionville de 1871 à 1939. Avant l’invention de l’artillerie rayée, la place de Metz était considérée comme im… La Feste Kronprinz est l’un des groupes fortifiés les plus vastes parmi les forts messins. Ces « casernes fortes Â», enterrées sur trois côtés, tournent le dos aux tirs ennemis, n’offrant aux regards qu’une façade appareillée pour les plus anciennes, ou bétonnée pour les plus récentes. Beaucoup d’officiers allemands, appartenant à l’aristocratie militaire prussienne, s'installent à Metz avec leur famille. Avant l’invention de l’artillerie rayée, la place de Metz était considérée comme imprenable[2]. 1904-1906. It is part of the second fortified belt of the city of Metz, built by the Germans as part of the fortified system ′′ Moselstellung ′′ from 1899 to 1916, a true ancestor of the Maginot line, and with a impressive … 62 relations. À la veille de la Première Guerre mondiale, Metz était donc devenue l'une des premières places fortes au monde[7]. Cette catégorie regroupe les articles sur les forts et les groupes fortifiés composant les deux ceintures fortifiées de la ville de Metz en Lorraine.Construits selon les théories de Séré de Rivières à la fin du Second Empire et de Hans von Biehler pendant l’annexion allemande, ils valurent à la ville la réputation d’être la première place forte du Reich allemand. batteries à l’est de la seconde ceinture fortifiée : batterie de Mont /Batterie Mont (1905-1907) ; La dernière modification de cette page a été faite le 4 février 2021 à 11:21. Jean-Luc Baudinet évoque ces évènements. Après le traité de Francfort, le système défensif de Metz est complété par les ingénieurs militaires allemands, par la construction de sept autres forts, entre 1871 et 1898. La Feste Kronprinz, rebaptisée groupe fortifié Driant en 1919, est un fort de la seconde ceinture fortifiée de Metz, en Moselle. L'ouvrage d'infanterie de Fèves complète la seconde ceinture fortifiée de Metz composée des Festen Wagner (1904-1912), Kronprinz (1899-1905), Leipzig (1907-1912), Kaiserin (1899-1905), Lothringen (1899-1905), Freiherr von der Goltz (1907-1916), Haeseler (1899-1905), Prinz Regent Luitpold (1907-1914) et l’I-werke Belle-Croix (1908-1914). Cette garnison allemande, qui oscille entre 15 000 et 20 000 hommes au début de la période[4], dépasse 25 000 hommes avant la Première Guerre mondiale[5]. Un peu d'histoire : La Feste Wagner, renommée "Groupe Fortifié de l'Aisne" par les français, fut bâtie sous la première annexion de la Moselle, de 1904 à 1910, au sud de Metz. Wolfsberg-Stellung . De très nombreux exemples de phrases traduites contenant "ceinture fortifiée" – Dictionnaire anglais-français et moteur de recherche de traductions anglaises. Pour ce point stratégique majeur pour la défense de l’empire[note 2], l’état-major allemand poursuivit sans discontinuer les travaux des fortifications jusqu'à la Première Guerre mondiale. La construction du fort de Bellecroix doit protéger le front de la basse Seille, alors que le fort Moselle protège le front de la Moselle au nord-ouest. Les forts sont généralement composés d’une ou plusieurs « casernes fortes Â», entourées de casemates ou de blockhaus plus petits. Point d’appui Canrobert L’ Horimont-Stellung, rebaptisé Point d’appui Canrobert après 1919, est un ouvrage militaire situé près de Metz. Les maisons à arcades de la place Saint-Louis ou l’église Saint-Martin sont construites sur les fondations du rempart romain. L’empereur Guillaume II, qui venait régulièrement à Metz pour inspecter les travaux, déclara à ce propos « Metz et son corps d’armée constituent une pierre angulaire dans la puissance militaire de l’Allemagne, destinée à protéger la paix de l’Allemagne, voire même [sic] de toute l’Europe, paix que j’ai la ferme volonté de sauvegarder[11]. La Feste Kronprinz, rebaptisée groupe fortifié Driant en 1919, est un fort de la seconde ceinture fortifiée de Metz, en Moselle. Parmi celles-ci, il convient de citer les casernes Ney, Barbot, de Lattre de Tassigny, Desvallières, Steinmetz, Grandmaison, Bridoux, Serret, Raffenel, Roques, Dupuis, Roques, Colin, Riberpray, Lizé et Raymond. This video is unavailable. Les forts de Metz constituent deux ceintures fortifiées autour de la ville de Metz en Lorraine[note 1]. Divodurum est une ville fortifiée depuis l’antiquité. Le fort de Queuleu [2] est situé au sud-est de Metz, sur le contrefort compris entre le ruisseau de la … 1899-1908. En septembre 1944, les forts situés à l'ouest de Metz, occupés par les troupes allemandes, ont résisté pendant plusieurs semaines aux offensives américaines. L’enceinte, de plus de 6 000 mètres de long, compte alors pas moins de trente-huit tours carrées ou rondes[2]. Cliquez sur la ligne de Bus pour connaitre les directions étape par étape avec des plans, heures d’arrivée et horaires mis à jour. Outre ces forts avancés, de nombreuses casernes de cette époque, comme les quartiers Barbot, Bridoux, Colin, Desvallières, Dupuis, Féraudy, Lattre-de-Tassigny, Lizé, Raffenel, Reymond, Riberpray, Roques, Séré-de-Rivières, Serret, Steinmetz, ou Thomassin, ainsi que de nombreux terrains militaires dans l’agglomération messine et les communes avoisinantes, rappellent le passé militaire de la ville de Metz. Il fait partie de … Property Value; dbpedia-owl:abstract: La Feste Mercy, rebaptisée Feste Freiherr von der Goltz en 1911, puis groupe fortifié La Marne en 1919, est un ouvrage militaire situé près de Metz, dans le bois entre Jury, Mercy et Ars-Laquenexy. La Feste Kronprinz, rebaptisée groupe fortifié Driant en 1919, est un fort de la seconde ceinture fortifiée de Metz, en Moselle. Contexte historique. Le sud de la ville reçoit également une ligne de remparts en 1739. Des tunnels souterrains relient souvent les différentes structures entre elles. Groupe Fortifié F. de Guise . Finalement, ces fortifications du XIXe siècle et du début du XXe siècle ne prouveront leur potentiel défensif qu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale. La ville s’entoure d’une enceinte percée de plusieurs portes où sont réemployés des blocs d’architecture et des stèles des monuments romains. Du Moyen Âge jusqu’à la fin du XIXe siècle, le quartier de l’Amphithéâtre sert de glacis pour les fortifications au sud de la cité. Le fort de Queuleu, ou fort Goeben [note 1], est un fort militaire de la première ceinture fortifiée de Metz, construit entre 1868 et 1870.Il bénéficie de renforcements importants à partir de 1889 et sert de camp d’internement nazi durant la Seconde Guerre mondiale.. Contexte. Ce dernier visite la place en 1675 et conclut : « Les autres places du royaume couvrent la province, Metz couvre l’État ». batteries à l’intérieur de la première ceinture fortifiée : batterie de Queuleu, à l’arrière du fort de Queuleu ; batteries à l’intérieur de la seconde ceinture fortifiée ; batterie du trou du lièvre, à l’est des forts. Dans un second temps, la première couronne de forts fut doublée par une seconde ceinture fortifiée, composée de neuf groupes fortifiés, entre 1899 et 1916. Montés sur affuts blindés, les canons pouvaient être déplacés par chemin de fer ou par la route. … Pour ce point stratégique majeur pour la défense de l’empire[note 3], l’état-major allemand poursuivit sans discontinuer les travaux des fortifications jusqu’à la Première Guerre mondiale. La plupart portent le nom des corporations chargées de leur entretien. La Feste Kronprinz est l’un des groupes fortifiés les plus vastes parmi les forts messins. François Roth, « Metz annexée à l’Empire allemand » dans François-Yves Le Moigne. Metz retrouve son rôle de place forte frontière, dès les premières années de la Restauration. Situé à l’arrière des lignes pendant la Première Guerre mondiale, il subit les assauts des troupes alliées à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Vidéos à découvrir . enacademic.com EN. Feste Leipzig . Metz retrouve son rôle de place forte frontière, dès les premières années de la Restauration. Point d’appui Leipzig, entre les groupes fortifiés Lorraine et Jeanne-d’Arc. adj. Une partie de cette enceinte est toujours visible le long de la Seille. La Feste Kaiserin est l’un des groupes fortifiés les plus vastes de ces fortifications. 1912-1916. À cette époque, Metz compte encore trois autres casernes, aujourd’hui disparues : la caserne de la Haute-Seille, construite en 1754, formée de deux pavillons pour le logement des officiers d’artillerie[8] ; la caserne de la Citadelle, composée de baraquements, bâtie en 1755 aux frais du roi, de qualité médiocre[8] ; et la caserne du quai Saint-Pierre, bâtie par la ville en 1691 pour loger les troupes de passage. À partir de 1905, pas moins de onze ouvrages secondaires virent le jour pour renforcer le rideau défensif au nord-ouest de Metz. Ce groupe fortifié, construit sur les communes de Pournoy-la-Grasse et de Verny, contrôlait la vallée de la Seille. La Feste Haeseler, rebaptisée groupe fortifié Verdun après 1919, est un ouvrage militaire situé près de Metz.Constitué des forts Sommy et Saint-Blaise, le groupe fortifié fait partie de la seconde ceinture fortifiée des forts de Metz.Il connut son baptême du feu, fin 1944, lors de la bataille de Metz Des galeries « de contremines Â» sont parfois placées en avant des ouvrages. Les Médiomatriques érigèrent un oppidum dominant la Moselle, probablement sur la colline Sainte-Croix[1]. RU; DE; FR; ES; Remember this site Search! Au cours du XIX e siècle, les progrès de l’artillerie obligèrent les ingénieurs français à concevoir un nouveau système défensif autour de la place forte de Metz, la première ceinture fortifiée. Feste Kaiserin . Dictionnaire Français-Turc. 1912-1916. Feste Lothringen . Il fait partie de la seconde ceinture fortifié des forts de Metz et connut son baptême du feu, fin 1944, lors de la bataille de Metz. La Feste Lothringen complète la Seconde ceinture fortifiée de Metz composée des Festen Wagner (1904-1912), Kronprinz (1899 - 1905), Leipzig (1907-1912), Kaiserin (1899-1905), Lothringen (1899-1905), Freiherr von der Goltz (1907-1916), Haeseler (1899-1905), Prinz Regent Luitpold (1907-1914) et Infanterie-Werk Belle-Croix (1908-1914). Des tunnels souterrains relient la plupart des structures entre elles. Ouvrages de Canrobert . La ceinture fortifiée de Metz. La Feste Lothringen, rebaptisé groupe fortifié Lorraine après 1919, est un ouvrage militaire situé près de Metz.Il fait partie de la seconde ceinture fortifié des forts de Metz et connut son baptême du feu, fin 1944, lors de la bataille de Metz. il y a 9 ans | 154 vues. D’autre part, de former un poste avancé dans les défenses françaises, capable de servir de base arrière à une offensive allemande. Enfin, un réseau téléphonique centralisé reliait l'ensemble de ces sites à l'état-major de la place. Aux IXe et Xe siècles[note 1], les fortifications de la cité sont renforcées, notamment par l’évêque Robert. Les forts les plus anciens sont entourés de larges tranchées, véritables douves sèches dont la profondeur atteint parfois une dizaine de mètres. … L’ensemble de la ville est alors bastionné, rendant sa prise improbable. » L’édification d’une double couronne de fortification est confiée à l’ingénieur militaire Louis de Cormontaigne[6], en sa qualité de directeur des places fortes des Évêchés, charge qu’il conserva de 1728 à 1749. Il connut son baptême du feu, fin 1944, lors de la bataille de Metz. La Feste Kronprinz est l’un des groupes fortifiés les plus vastes parmi les forts messins. Elle fait partie de la seconde ceinture fortifiée de la ville de Metz, construite par les allemands dans le cadre du système fortifié "Moselstellung" de 1899 à 1916, véritable ancêtre de la ligne Maginot, et … Du XVIe au XVIIIe siècle, les fortifications de la ville de Metz connaîtront plusieurs remaniements, qui transformeront radicalement la ville fortifiée médiévale en une véritable place forte moderne, adaptée à l’artillerie et aux nouvelles techniques de siège. De 1726 à 1731, l’évêque Henri du Cambout de Coislin fait construire à ses frais une immense caserne sur le Champ-à-Seille pour loger l’infanterie[5]. Des ponts-levis à contrepoids variables remplacent les ponts dormants sur les rivières, les portes et les remparts de la place sont entièrement reconstruits. Les forts sont généralement composés de plusieurs grandes casernes entourées de blockhaus plus petits. Situé à l’arrière des lignes pendant la Première Guerre mondiale, il subit les assauts des troupes alliées à la La Feste Wagner, rebaptisé groupe fortifié l’Aisne par les Français en 1919, est un fort de la seconde ceinture fortifiée de Metz, en Moselle. Ces forts étaient en outre entourés d’un réseau dense de fil de fer barbelé. Augmentée en 1745, cette dernière fut détruite avant 1817[8]. En plus des constructions fixes, des emplacements pour pièces d'artillerie mobiles ont été aménagés à des endroits stratégiques, à Metz même, mais surtout sur la seconde ceinture fortifiée. La ville ainsi enclose n’avait plus qu’une longueur de 1 200 m et une largeur de 600 m et sa superficie était ramenée à 70 ha. La Feste Lothringen, rebaptisé groupe fortifié Lorraine après 1919, est un ouvrage militaire situé près de Metz. La Feste Kronprinz est l’un des groupes fortifiés les plus vastes parmi les forts messins. Durant l’Annexion, Metz, dont la garnison allemande oscillera entre 15 000 et 20 000 hommes … Les fortifications de Metz faisaient partie d’un programme de fortifications plus vaste, appelé « Moselstellung Â», et englobant des forteresses disséminées entre Thionville et Metz, dans la vallée de la Moselle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les fortifications de Moselle & d'Alsace de 1871 à 1939. La dernière modification de cette page a été faite le 11 janvier 2021 à 16:26. Dans un premier temps, le système défensif composé de quatre forts fut complété par la construction de sept autres forts, par les ingénieurs militaires allemands, entre 1871 et 1898. La Feste Kronprinz, rebaptisée groupe fortifié Driant en 1919, est un fort de la seconde ceinture fortifiée de Metz, en Moselle. L’histoire des fortifications de Metz, en Lorraine, remonte au IIIe siècle de notre ère, pour se terminer au XXe siècle. Situé à l’arrière des lignes pendant la Première Guerre mondiale, il subit les assauts des troupes Alliées à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ses plans sont en partie suivis en 1676, puis repris au début du XVIIIe siècle par son élève Louis de Cormontaigne. La Feste Kronprinz, rebaptisée groupe fortifié Driant en 1919, est un fort de la seconde ceinture fortifiée de Metz, en Moselle.La Feste Kronprinz est l’un des groupes fortifiés les plus vastes parmi les forts messins.Situé à l’arrière des lignes pendant la Première Guerre mondiale, il subit les assauts des troupes alliées à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Situé à l’arrière des lignes pendant la Première Guerre mondiale, il subit les assauts des troupes Alliées à la fin de la Seconde Guerre mondiale. À suivre. L’empereur Guillaume II, qui venait régulièrement à Metz pour inspecter les travaux, déclara à ce propos « Metz et son corps d’armée constituent une pierre angulaire dans la puissance militaire de l’Allemagne, destinée à protéger la paix de l’Allemagne, voire de toute l’Europe, paix que j'ai la ferme volonté de sauvegarder Â»[3]. Construits selon les théories de Séré de Rivières à la fin du Second Empire et de Hans von Biehler pendant l’annexion allemande, ils valurent à la ville la réputation d’être la première place forte du Reich allemand[1]. Un tribunal militaire, une école de guerre, de nombreuses dépendances et plusieurs arsenaux complétaient par ailleurs ces infrastructures militaires.