L'université est principalement implantée dans le quartier Paris Rive Gauche[39], mais dispose aussi d'installations rue Charles-V (UFR études anglophones), dans l'Immeuble Montréal rue de Tolbiac (UFR GHSS et Sciences sociales), rue du Chevaleret (UFR Mathématiques et Informatiques) et rue de Paradis (UFR Sciences humaines cliniques). Il se décline en 14 mentions. Jusqu'en 2005, le campus de Jussieu compte près de 40 000 étudiants, soit le double de l'effectif prévu initialement, hébergeant simultanément trois établissements universitaires comportant locaux administratifs, laboratoires de recherche, amphithéâtres, salles de travaux dirigés et salles de travaux pratiques. Le bâtiment Biopark (5 et 7 rue Watt) est l'implantation principale de l'UFR d'études interculturelles de langues appliquées (EILA) où se retrouvent à la fois les secrétariats et les laboratoires de recherche dans les domaines de linguistique appliquée. ����4��!�����B� ��X�. Des journalistes comme le lauréat du prix Albert-Londres 1984 Jean-Michel Caradec'h, la chercheuse en biologie Alice Meunier, des philosophes comme Gilles Dowek (grand Prix de philosophie 2007), l'eurodéputée allemande Evelyne Gebhardt, la biomathématicienne Dominique Costagliola, la géophysicienne Mioara Mandea, l'astronome et astrophysicienne Fabienne Casoli, l'avocate Aïcha Kadhafi et la ministre Cécile Duflot ont étudié à l'université[102]. La densité des activités physiques et sportives se témoigne par une très grande diversité des disciplines[77] : sports de combat, sports collectifs, sports de raquettes, activités artistiques, activités aquatiques, activités de plein air. « Interdisciplinaire pour le vivant », « Matière Condensée et Interfaces », « Médicament, Toxicologie, Chimie et Environnement », « Particules, noyaux et cosmologie », « Physiologie et physiopathologie », « Physique de la région parisienne », « Physique et chimie des matériaux », « Santé publique : Épidémiologie et sciences de l'information biomédicale », « Sciences de l'environnement », « Sciences de la Terre » et « Sciences mathématiques de Paris Centre »[35]. Trouvez des conseils et fournisseurs pour vos travaux, votre AG et l'entretien de votre immeuble. Les formations en sciences sont composées des deux départements de formation de Licence « Sciences de la Nature et de la Vie » et « Sciences exactes », de l'école d'ingénieurs Denis Diderot, de l'IUT Paris Jussieu, de l'institut de recherche sur l'enseignement des mathématiques, ainsi que des cinq UFR de chimie, d'informatique, de mathématiques, de physique et de « sciences de la Terre, de l'environnement et des planètes »[33]. Ces unités sont restées sur le campus de Jussieu[16]. Ses activités de recherche se concentrent autour de 102 équipes (dont près de 80 % associées à de grands organismes de recherche) et regroupent près de 2 300 doctorants et 2 000 enseignants-chercheurs. Parmi cette population entrante, ceux issus d'un échange Erasmus représentent sur la période 2003-2008 entre 0,52 et 0,74 % des étudiants de l'université, plaçant l'établissement entre la 52e et la 61e place des universités françaises pour ce type d'accord[59]. Les projets menés dans ce cadre associatif peuvent être reconnus dans le cadre des études à hauteur de trois ECTS, une seule fois dans le cadre d'un diplôme. Vous n’êtes pas autorisé à lire ce forum. Un financement peut être assuré par un fonds de solidarité et de développement des initiatives étudiantes pour les différents projets associatifs, qui en 2007 s'élève à 231 000 euros[81], et couvre plus de 80 projets[82]. Une première liste de noms est présentée par le conseil d'administration de l'université et par les directeurs d'UFR lors du CA du 19 novembre 1991. Les départements Histoire et Sociologie ont compté nombre de chercheurs : Jean Duvignaud, Pierre Ansart, Michelle Perrot, Gérard Namer, Claude Liauzu... Plusieurs personnalités politiques ont enseigné à l'université, comme les anciens ministre français de l'Éducation nationale Claude Allègre et Luc Ferry[100], l'eurodéputé français Jean-Luc Bennahmias, ou encore le ministre estonien Jaak Aaviksoo[101]. Revenir en haut Les activités associatives sont portées au niveau institutionnel par un bureau de la vie étudiante, et par un vice-président étudiant, poste mis en place lors de l'application de la loi LRU. Plate forme de dénonciation des cas de fraude et corruption dans les différents ministère de la Côte d'Ivoire. Le Campus Paris Rive Gauche, implantation principale de l'université depuis 2006, regroupe un complexe académique accueillant à la fois équipes, laboratoires, instituts de recherche, amphithéâtres et salles de travaux pratiques et dirigés : « Les Grands moulins », « Halle aux farines », « Tour Voltaire », « Buffon », « Condorcet », « Lamarck A » , « Lamarck B », « Lavoisier », « Sophie-Germain » et « Olympe-de-Gouges ». Le nom est officiellement adopté par l'université à la suite des « journées Denis Diderot » organisées du 2 au 5 novembre 1994[19]. La première pierre des premiers bâtiments a été posée le 30 septembre 2004[21] par François Fillon, alors Ministre de l'Éducation nationale[22], et celle des quatre derniers le 21 janvier 2011 par Valérie Pécresse, alors Ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche[23]. En 2012, le Ranking Web of World Universities lui attribue la 786e place au niveau mondial et la 303e au niveau européen[74]. Master 2 Mention : psychologie psychopathologie clinique psychanalytiques – parcours psychanalyse et interdisciplinarité Responsable du parcours : Thamy AYOUCH Le parcours psychanalyse et interdisciplinarité est coordonné par le Professeur Thamy Ayouch , et sa spécialité s’appuie sur le Centre de Recherche Psychanalyse, Médecine et Société – CRPMS dirigé par le P r Laurie Laufer . Le DN MADE forme à des postes d'assistant en conception dans des studios de création, en agences de design, dans des PME/PMI, ou à des emplois d'artisan-concepteur indépendant. En sciences, trois unités sont divisées entre Paris VI et Paris VII, les unités d'algèbre et géométrie, de biochimie, et de biologie génétique, et trois unités sont créées par regroupement de membres de dix unités ayant rejoint Paris VI, une unité de biologie[12], une unité de physique[13] et une unité de chimie[14], auxquelles s'ajoute la création d'un département de géologie[15]. L'hôpital Saint-Louis[41] et l'hôpital Bichat-Claude-Bernard[42] sont utilisés par les formations médicales. Université de Paris VII-Denis Diderot Beaudoux-Kovats, Édits Centre de ... Université Paris-Sorbonne (Paris IV), CHÉRILUS, Thony Master 2 en Adaptation aux changements environnementaux et climatiques, Licence en Travail Social Professeur à l'Université d'État d'haïti, Campus Roi Henri Christophe de Limonade [Collection: Études haïtiennes.] Les universités Paris-III, Paris-V et Paris-VII décident en 2017 d'une fusion initialement prévue pour le 1er janvier 2019[28]. Plus de cinquante associations sont actives sur le campus[82]. Elle était composée de six facultés. Elle a été créée en 1971 à la suite de la scission de l'université de Paris. Comme tout établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSCP), l'université est dirigée par un président élu à la majorité absolue des membres élus du conseil d'administration. La loi Faure a imposé aux anciennes facultés de se diviser en UER avant de se recomposer en universités nouvelles. L'université a été membre du PRES Sorbonne Paris Cité depuis le 31 mars 2010[4]. En 2011, la finalisation du déménagement se poursuit avec la construction de quatre nouveaux bâtiments dans le cadre de la deuxième phase de construction (Tour Voltaire, Lamarck A, Sophie-Germain et Olympe-de-Gouges), afin de réunir en 2012 toute l'université sur une superficie bâtie de 210 000 m2[40]. PK ! La dernière modification de cette page a été faite le 14 janvier 2021 à 13:57. Les projets portés par ces premières réunions d'établissements ne sont pas retenus lors de la première phase du plan campus d'avril 2008, et de nouveaux rapprochements se forment[25]. Le manque de locaux devient alors un problème crucial d'autant que la durée problématique et imposante du désamiantage du « gril d'Albert » (dix ans minimum) impose la mobilisation d'une quantité considérable de locaux de substitution (appelés « locaux tampons ») : ces raisons expliquent l'échec du parachèvement du campus dans le cadre du plan « Université 2000 ». L'année suivante, ce chiffre monte à 1 159 étudiants (dont 782 américains)[58]. Suivez toute l'actualité française et internationale avec les News 24/7 Le service commun de documentation[36], qui gère les fonds documentaires de l'université, a pris en 2009 la suite de la bibliothèque interuniversitaire scientifique de Jussieu[37]. En 2012, le classement QS World University Rankings classe l'université à la 234e place mondiale[72]. Afin de ne pas faire primer l'une des disciplines de l'université sur une autre, le CA vote finalement pour l'appellation de « Denis Diderot ». Elle fusionne avec l'université Paris Descartes et l'Institut de physique du globe de Paris en 2019 pour devenir Université de Paris, à qui elle cède pleinement ses droits au 1er janvier 2020. En novembre 1995, Jean-Pierre Dedonder, alors président, présente le projet de déménagement aux autorités de tutelle. En 2012, le classement Times Higher Education World University Rankings classe l'université à la 166e place mondiale[73]. La dénomination Paris Rive Gauche (PRG) concerne non seulement le projet de déménagement mais aussi le site d'implantation définitif de la totalité des composantes (hors secteur santé). L'opposition au démantèlement est plus forte à la faculté des sciences dirigée par le doyen Marc Zamansky. Dans le domaine de la santé, elle est alors constituée de deux unités d'enseignement et de recherche médicales, les centres hospitaliers et universitaires « Bichat-Beaujon » et « Lariboisière - Saint-Louis » auxquelles s'ajoutent une unité d'hématologie (l'institut de recherche sur les leucémies) et une unité de sciences humaines cliniques formées de psychanalystes[10]. : 01 71 28 56 76 znguvyqr.znezvre@cnevf.se [mathilde.marmier puis paris.fr après le signe @] Poste à pourvoir à compter du : 24/10/2020. L'université fut un pôle important du développement des recherches féministes et d'histoire des femmes. Lors de la cérémonie de remise des titres de docteur honoris causa le 3 avril 2003 en Sorbonne, Benoît Eurin, alors président de l'université, décerne, en présence de l'historien du droit français Maurice Quénet, la distinction à neuf personnalités[103] : Aravind Joshi, Stephen K. Krane, Goverdhan Mehta, Edward Said, Reinhart Koselleck Henry P. McKean, Salman Rushdie, Livio Scarsi et Tatsuo Suda. Elle occupe 8 000 m2 sur cinq niveaux, et dispose en 2011 de 1 400 places, de 120 postes informatiques, de neuf salles de travail en groupe, de trois espaces de consultation des DVD de la bibliothèque et de deux salles de formation. Dans le domaine scientifique, des personnalités comme le lauréat du prix Nobel de physique 2006[95] George Fitzgerald Smoot[96],[97],[98], ou le lauréat du prix Nobel de physiologie ou médecine 1980[99] Jean Dausset ont enseigné à l'université, de même que le membre de l'Académie des sciences Jean-Michel Savéant, l'astrophysicien découvreur des anneaux de Neptune André Brahic, le recteur de l'Agence universitaire de la Francophonie Bernard Cerquiglini, ou encore le premier président du Comité consultatif national d'éthique Jean Bernard. Un « Institut des Études Doctorales » coordonne ces études doctorales, et articule ses activités autour des deux secteurs de l'établissement, le secteur « Sciences et Santé » et le secteur « Lettres Langues et Sciences Humaines »[34]. Le secteur « Sciences et Santé » rassemble les écoles « Astronomie et Astrophysique de l'Île-de-France », « Biochimie, Biothérapies, Biologie Moléculaire et Infectiologie », « Biologie et biotechnologie », « Chimie physique et chimie analytique de Paris-Centre », « Génétique Cellulaire, Immunologie, Infectiologie, Développement », « interdisciplinaire Frontières du vivant » Le secteur « Lettres Langues et Sciences Humaines » rassemble les écoles « Littérature, Image, civilisations et sciences humaines (domaines francophone, anglophone et d'Asie orientale) », « Économies, espaces, sociétés, civilisation, pensée critique, politique et pratiques sociales », « Géographie de Paris - Espace, Sociétés, aménagement », « Recherches en psychanalyse », et « Savoirs scientifiques : épistémologie, histoire des sciences, didactique des disciplines »[35]. Le taux d'enseignants-chercheurs publiants dépasse 80 %, et 72 % d'entre eux sont dans des unités classées A ou A+ par l'AERES[68]. L'université est aussi à l'origine du Prix Diderot Innovation, décerné en 2006[69], 2007 et 2009 en partenariat avec le CNRS et relancé en décembre 2015[70]. Paris 7 intègre par la suite le projet Sorbonne Paris Cité, qui rassemble aussi les universités de Paris 3, Paris 5 et Paris 13, ainsi que d'autres établissements d'enseignement supérieur comme SciencesPo[26], et le PRES est officiellement créé le 13 février 2010[27]. Ses fonds, organisés en quatre pôles (« Lettres et arts », « Sciences humaines et sociales », « Histoire, géographie, ville », et « Sciences »), comptent en 2011 quelque 180 000 documents (livres, thèses, cartes et DVD), 1 000 revues papier et 16 000 titres de périodiques électroniques, 925 livres électroniques et 101 bases de données. Le document du mois, juillet 2006 : 1994, Paris 7 choisit le nom de Denis Diderot. L'université doit faire face dès sa création à des problèmes de locaux concernant ses composantes scientifiques, qui doivent partager avec l'université Paris VI le campus de Jussieu. En 1973, la création du cours « Les femmes ont-elles une histoire ? L'UER de mathématiques, qui ne dispose que de trois salles de cours avant la création des secteurs 24-34-44 du campus, doit héberger l'administration de l'université[17]. On y trouve des unités de formation et de recherche (UFR), des instituts, des départements, ainsi que des services communs[32]. L'université est structurée conformément au code de l'éducation, qui fixe l'organisation légale des universités en France. L'immeuble Montréal - Olympiades est un autre lieu d'implantation temporaire de l'université. L'Université de Paris est une université française expérimentale créée par décret le 20 mars 2019 [2] et issue de la fusion des universités Paris-Descartes, Paris-Diderot et de l'intégration de l'institut de physique du globe de Paris en tant qu'établissement-composante. Dans le cadre du plan « Réussite en Licence », l'université a déclaré avoir investi 4,5 millions d'euros (dont 2,1 millions provenant de la dotation gouvernementale) pour renforcer l'encadrement, la méthodologie, le suivi pédagogique et l'allongement des horaires des bibliothèques[49]. Les formations en lettres et sciences humaines sont organisées par un département de formation de Licence « Lettres et Sciences Humaines », l'institut de la pensée contemporaine, ainsi que de huit UFR d'études anglophones, d'études interculturelles de langues appliquées, « géographie, histoire, sciences de la société », de langues et civilisation de l'Asie orientale, de « lettres, arts et cinéma », de linguistique, de sciences humaines cliniques, et de sciences sociales[33]. Des rencontres annuelles inter-universitaires sont organisées avec la FFSU telles qu'au judo avec la Coupe d'automne en octobre. Évolution démographique de la population universitaire. Ces unités sont principalement implantées rue Charles V et à Censier. En 2012, le classement académique des universités mondiales par l'université Jiao Tong de Shanghai la classe entre la 101e et la 150e place mondiale (la 45e pour les mathématiques) et entre la 4e et la 7e place en France[71]. L'université voit la signature de ses premiers statuts dès le 14 décembre 1970[9], et est officiellement créée le 1er janvier 1971[1]. À la rentrée 2015, l'université Paris Diderot propose 27 mentions de licence dont 8 spécialités de licence professionnelle, 192 diplômes universitaires/inter-universitaire, un diplôme d'ingénieur, un diplôme universitaire de technologie et un diplôme de recherche technologique[48]. La bibliothèque centrale est située sur le campus Paris Rive Gauche, dans le bâtiment des Grands Moulins. Il essaie alors d'obtenir la création d'au moins une université de ce type[5]. Cette situation crée des tensions avec d'autres secteurs de l'université, comme le domaine médical, mieux doté en personnel mais qui voit ainsi ses budgets baisser[17]. L'université délivre également sept mentions de licence professionnelle. Selon les chiffres publiés en janvier 2015 par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, 93 % des diplômés 2011 de Paris 7 en Sciences humaines et sociales et en Sciences, technologies et santé occupaient un emploi trente mois après l'obtention de leur diplôme, 92 % en Lettres, langues, arts, 98 % en Psychologie[55].